A l’occasion des Journées du patrimoine, les élèves de la spécialité HLP (Humanités, Lettres et Philosophie) ont pu découvrir les univers de 14 designers français et internationaux, invités par la fondation Martell, à Cognac. A la frontière de l’art et de la production industrielle, le design s’intéresse aussi bien à la conception d’objets du quotidien, qu’à celle du mobilier ou de l’architecture, et même à l’organisation des villes.
Un jardin zen…à ratisser 
Un nid douillet pour y rêver… 
Une chambre d’enfant féerique…
L’exposition « Places to be » propose au visiteur une expérience immersive ; c’est la reconstitution d’une maison inspirée par le jeu du Cluedo, les paysages surréalistes du peintre italien Giorgio de Chirico, mais aussi par la planète Tatooine de Star Wars et ses habitations agglutinées. De l’entrée au dancefloor, en passant par la cuisine, le salon ou encore la salle de projection, chaque pièce est une création originale, et pleine de surprises.
Les élèves ont beaucoup apprécié cette visite qui leur a permis de découvrir les métiers du design et ceux de la conservation du patrimoine, et de la culture.
Un meuble aux formes énigmatiques… 
Un salon en pleine forêt… 
Un lit un peu étrange…
Voici quelques-uns de leurs témoignages…
« Je n’ai pas été surpris mais ébloui, épaté ; ça m’a donné envie de créer de nouveaux univers»
« J’ai bien aimé le fait que chaque pièce soit réalisée par des créateurs de différentes origines et cultures »
Mais où mène ce chemin ? 
Un dîner au jardin… 
Un petit théâtre d’ombres…
« Je pense que j’ai été surpris par l’originalité et la créativité des artistes, ainsi que par la différence entre chacune des pièces. J’ai aimé le jardin zen d’inspiration japonaise parce qu’il est assez beau, et que les matériaux sont assez bien utilisés, comme par exemple le quartz noir par terre, que l’on pouvait ratisser avec un râteau de méditation. »
Une salle-de-bains disco… 
Un dance-floor perso… 
Et, enfin, un peu de repos…
« J’ai été agréablement surprise ; je ne m’attendais pas du tout à cela. Les pièces que j’ai le plus aimées sont la véranda, avec son nid, et le salon qui représentait la nature, le calme ; je m’y sentais bien »
Cette sortie leur permettra également de nourrir leur imagination pour le projet du second semestre : l’invention d’une société utopique dont ils concevront aussi bien les lois et les coutumes que l’architecture ou l’habitat.
Géraldine Wasmer et Clément Baudot.
